Aliments gras : ce qu'ils font à votre corps et comment les gérer

Quand on parle d'aliments gras, des sources de lipides présentes dans les aliments naturels ou transformés, souvent mal compris. Also known as lipides alimentaires, ils ne sont pas tous égaux : certains protègent votre cœur, d'autres le menacent silencieusement. La plupart des gens pensent que tous les gras sont à éviter, mais c’est une idée reçue. Ce qui compte, c’est le type de gras, la quantité, et comment il s’insère dans votre alimentation globale.

Les acides gras saturés, présents dans les viandes rouges, les produits laitiers entiers et les graisses hydrogénées, peuvent pousser votre cholestérol LDL à monter — le mauvais cholestérol qui encrassait les artères. Mais les acides gras insaturés, comme ceux des avocats, des noix, des poissons gras et des huiles végétales, font exactement l’inverse : ils réduisent l’inflammation, améliorent la sensibilité à l’insuline, et soutiennent la santé cérébrale. Et puis il y a les gras trans, presque totalement bannis, mais encore présents dans certains snacks industriels — eux, ils n’ont aucune place dans une alimentation saine.

La relation entre aliments gras et maladies n’est pas directe. C’est souvent l’excès, combiné à un mode de vie sédentaire, qui pose problème. Un steak grillé avec des légumes, c’est différent d’un burger avec frites et sauce industrielle. Les études montrent que les personnes qui mangent des poissons gras deux fois par semaine ont moins de crises cardiaques. Mais celles qui consomment quotidiennement des viennoiseries ou des frites, même en petite quantité, voient leur risque augmenter. Votre foie, lui, ne fait pas la distinction : il transforme tout excès de gras en dépôt, surtout si vous buvez de l’alcool ou si vous êtes sédentaire.

Si vous avez une maladie comme la goutte, le diabète ou une hypertension, votre corps réagit différemment aux gras. Certains médicaments, comme les statines pour le cholestérol, fonctionnent mieux quand vous réduisez les gras saturés. Et si vous prenez des anticoagulants, certains gras — comme ceux des noix ou des huiles de colza — peuvent renforcer leur effet, ce qui peut être dangereux sans surveillance.

Vous ne devez pas éliminer les gras. Vous devez les choisir avec intelligence. Et c’est là que les articles ci-dessous vous aident : ils vous montrent comment les gras interagissent avec des traitements comme la pravastatine, comment ils influencent l’inflammation liée à la goutte, et pourquoi certains régimes réussissent mieux que d’autres selon votre âge ou vos antécédents médicaux. Ce n’est pas une question de tout supprimer — c’est une question de savoir ce qui marche pour vous.