La tolérance, c’est quand votre corps s’habitue à un médicament et qu’il faut augmenter la dose pour obtenir le même effet. Also known as adaptation physiologique, it happens silently—often without you noticing—until the pain comes back, the sleep doesn’t come, or the inflammation won’t budge. Ce n’est pas une faiblesse. Ce n’est pas une erreur. C’est une réaction biologique normale, comme votre peau qui brunit au soleil. Mais quand ça arrive avec un analgésique, un antidépresseur ou un antibiotique, ça peut devenir un vrai problème.
La tolérance, c’est quand votre corps s’habitue à un médicament et qu’il faut augmenter la dose pour obtenir le même effet. Also known as adaptation physiologique, it happens silently—often without you noticing—until the pain comes back, the sleep doesn’t come, or the inflammation won’t budge. Ce n’est pas une faiblesse. Ce n’est pas une erreur. C’est une réaction biologique normale, comme votre peau qui brunit au soleil. Mais quand ça arrive avec un analgésique, un antidépresseur ou un antibiotique, ça peut devenir un vrai problème.
La tolérance, c’est ce qui fait que votre ibuprofène ne soulage plus aussi bien qu’avant, ou que votre naproxène doit être pris en plus grande quantité pour calmer une douleur qui, avant, disparaissait avec une seule gélule. C’est aussi ce qui rend certains traitements comme le secnidazole ou le perindopril moins efficaces au fil du temps chez les personnes âgées, dont le métabolisme change. Et oui, ça peut arriver avec des médicaments que vous pensez inoffensifs. Le paracétamol ? Oui. Les crèmes à l’allantoïne ? Moins probable, mais possible si vous les utilisez en continu sans pause. La tolérance ne concerne pas que les drogues ou les opioïdes. Elle touche les anti-inflammatoires, les anxiolytiques, les antihypertenseurs, même certains traitements contre la chute de cheveux.
Le vrai danger, ce n’est pas la tolérance en elle-même. C’est de la confondre avec une dépendance, ou pire, de l’ignorer. Quand vous augmentez la dose sans parler à votre médecin, vous courez le risque d’effets secondaires plus graves. Un trop grand dosage de Cobix peut endommager votre foie. Une surdose de lidocaïne peut provoquer des troubles du rythme cardiaque. Et si vous prenez du Bactrim ou de l’amoxicilline trop longtemps, vous risquez de créer des bactéries résistantes—ce qui rendra les futurs traitements inutiles. La tolérance n’est pas un signal pour prendre plus. C’est un signal pour parler.
Vous avez remarqué que votre traitement ne marche plus comme avant ? Ce n’est pas que vous êtes devenu "plus dur". C’est que votre corps a changé. Vos reins, votre foie, votre système nerveux ont ajusté leur fonctionnement. C’est ce qu’on voit chez les personnes âgées qui prennent du secnidazole, ou chez ceux qui utilisent des anticoagulants comme le Coumadin sur le long terme. Le corps apprend à éliminer plus vite, à bloquer mieux, à s’adapter. Et ça, c’est quelque chose que seul un professionnel peut interpréter.
Dans cette collection, vous trouverez des comparaisons concrètes entre des médicaments qui provoquent souvent de la tolérance—comme Aleve, Emsam, Finast, ou le Metoclopramide. Vous verrez comment les alternatives fonctionnent, quelles sont les doses réelles, et surtout, quand il faut arrêter, changer, ou simplement attendre. Vous apprendrez aussi comment les aliments gras peuvent influencer l’absorption de certains traitements, ce qui peut fausser votre perception de la tolérance. Et vous découvrirez pourquoi, parfois, ce n’est pas le médicament qui échoue, mais la façon dont vous le prenez.
La tolérance n’est pas une fin. C’est un signal. Et vous avez les bons outils pour y répondre—sans prendre de risques inutiles.
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